Démission des responsables du département de gestion des entreprises et des administrations (GEA) de l’IUT de Saint-Denis
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Archives par mot-clé : démission
#pasderentrée à Créteil en STAPS
#pasderentrée à Nantes en STAPS
Les 49 enseignant·es PRAG et PRCE de la faculté de STAPS à Nantes viennent de voter à l’unanimité le maintien de la suspension de leurs activités administratives, ce qui rend impossible la constitution des emplois du temps. L’accueil des étudiant·es se fera afin d’expliquer les raisons du mouvement.
#ResistESR
Pas de 7e campagne de recrutement pour Hugo
- par Hugo Bréant, Fil publié sur Twitter le 31 mars 2023.
Il n’y aura pas de 7e campagne de recrutement pour moi en 2023/
Quelques explications d’une bifurcation personnelle qui, au-delà de mon cas personnel, pourrait être « un peu » révélatrice de l’état pour le moins délabré de l’ESR !
Après 6 campagnes qui se sont toutes soldées par un échec, malgré 4 classements pour des postes de MCF en sections 04 et 19 sur 4 auditions (dont trois deuxièmes places enchaînées depuis 2020), 3 auditions CNRS, 2 auditions Ined et 1 audition IRD…
Après le chômage (Pôle Emploi, sponsor n°1 de l’ESR), un poste d’Assistant d’éducation (AED) en lycée professionnel, puis trois beaux post-doctorats à l’Université de Rouen-Normandie, à l’ENS-Ulm et à l’Ined, la LPPR devenue LPR a instauré une date de péremption aux postdoctorant∙es : « thèse + 3 ans, c’est fini, circulez ! »
J’ai donc décidé qu’il fallait arrêter les frais.
Faculté de droit, Nantes : appel à la démission collective des responsabilités administratives voté à l’unanimité
Réunis ce jour [1er mars 2023] en Assemblée générale, les personnels de la Faculté de droit et des Sciences Politiques de Nantes ont voté la motion unique suivante, à l’unanimité des 61 présents ou représentés : L’Assemblée générale déplore le refus ministériel opposé à toute diminution substantielle des effectifs d’étudiants en mesure de sauvegarde d’urgence pour préserver la santé mentale et physique des personnels de la Faculté.
À la suite de l’appel lancé le 23 janvier dernier par 30 enseignant·es-chercheur·ses responsables de diplômes, l’Assemblée générale prend acte de l’approfondissement du diagnostic collectif réalisé à l’initiative de la présidence de Nantes Université. Cependant, elle considère que les réponses apportées en termes de déploiement de moyens nouveaux sont très faibles et incertaines tant en volume qu’en termes de calendrier. En l’absence de solutions concrètes proposées et à des fins de mesure de sauvegarde, l’Assemblée générale appelle l’ensemble des agents de la Faculté à démissionner de leurs responsabilités pédagogiques ou collectives non statutairement obligatoires. Les dangers sur leur santé encourus par les personnels de la faculté sont, encore aujourd’hui, graves et imminents.
Enfin, l’Assemblée générale appelle à la continuité du dialogue en invitant la présidente de Nantes Université à venir s’exprimer à nouveau directement auprès des personnels aux fins de préciser les moyens envisagés pour répondre à l’alerte lancée le 3 décembre 2021 et relayée par la présente Assemblée générale depuis un an.
Le bureau de cette AG organisera très prochainement une réunion à destination des étudiant·es de la Faculté pour présenter l’état actuel de la situation qui a commandé cette décision collective et analyser les conséquences qu’elles pourraient avoir sur le fonctionnement des formations.
Samuel démissionne de l’ESR et en donne les raisons
« Un grand merci, chère Ministre, de m’avoir forcé à faire ce choix » : D0cB met fin à sa carrière dans l’ESR
Travail d’archive (6). Le courage de démissionner : Michel Deneken donne l’exemple aux membres de l’Udice
Michel Deneken et les membres de l’Udice, le club auto-proclamé des dix « grandes universités françaises de recherche » qui prend la suite de la CURIF, sont en colère. Ils ont raison : le gouvernement ne les écoute pas, désespérément pas, alors qu’ils réclament « instamment la possibilité d’accueillir » les étudiants, et ce, « dès début janvier, avec une jauge de 50 % ».
Face à ce silence, il n’y a que deux solutions. La première consiste à aller au contentieux. La conférence des évêques de France a eu le courage de le faire, plutôt que de se perdre en belles paroles : elle a déposé un référé-liberté et obtenu satisfaction en 48 heures devant le Conseil d’État. Simple et efficace. La seconde solution consiste à démissionner de ses fonctions.
Please Resign by Colin Knowles, 2011, CC BY-SA
Faute d’engager le moindre contentieux, c’est cette dernière solution qui s’impose à nos président.es d’université. Michel Deneken doit prendre ses responsabilités et démissionner. Par-delà la crise sanitaire, les raisons ne manquent pas. Bien sûr, il ne le fera pas, et d’autres, d’ailleurs, ont dû en tirer les conséquences à sa place.
Et pourtant, il l’a déjà fait.
Saint-Étienne : démission de nombreux proches de la présidente, laissée seule avec la fusion
Lire l’article complet sur le site Idexit
La détonation risque de retentir pendant plusieurs semaines : huit vice-président⋅es de l’université Jean-Monnet de St-Étienne (UJM), dont les trois vice-présidents centraux, annoncent aujourd’hui leur démission. Avec un collectif de dirigeant⋅es de l’université (chargé⋅es de mission, responsables de composantes ou d’unités), ils considèrent « que le projet d’Université-Cible, que certains d’entre nous ont porté, met en danger, aujourd’hui, notre établissement et notre capacité à porter une ambition académique sur le site de Lyon-Saint-Étienne. » Alors que la sauvegarde de l’université stéphanoise était au centre de la campagne des municipales et que Khaled Bouabdallah, véritable « parrain » de l’ESR local, a récemment été exfiltré vers Montpellier, la présidente Michèle Cottier se retrouve seule à porter un projet de fusion dont tout le monde, à Saint-Étienne, perçoit désormais l’absurdité.
🔴 URGENT | Un collectif de VP, chargé⋅es de mission, directeur⋅ices de composantes de l'@Univ_St_Etienne démissionne, refusant de participer à l'annexion de l'université par l'université-cible lyonnaise 💥
cc @JulienGossa @audreysteeves @ceciliapandolfi @FraySebastien pic.twitter.com/dtQk2sLL1Q
— Idexit 2 – Non à Pluriel 2024 ! (@IdexitLyon) June 26, 2020
Lire l’article complet sur le site Idexit
Né en 2017, le collectif « Idexit » regroupe des étudiant⋅es de Lyon et de Saint-Étienne mobilisé⋅es contre le projet de fusion de leurs universités et de leurs écoles.
Avant le 14 février : démission des responsabilités administratives
| Cher·es collègues,
Vous trouverez ci-joint une lettre de menace de démission collective de nos responsabilités administratives pour protester contre le projet de Loi de programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR). Cette lettre, déjà signée par plus de 300 collègues, sera publiée prochainement dans la presse.
Il est important que la lettre soit signée par un nombre conséquent de collègues pour alerter sur le rejet que suscite ce projet.
Vous pouvez vous associer à cette action en remplissant le formulaire suivant
Lien vers la plateforme de recensement des signaturesLa date limite est fixée au 14 février 2020 au plus tard. Voici, à titre indicatif (et non exhaustif), la liste des responsabilités dont vous pouvez démissionner :
 N’hésitez pas à diffuser très largement autour de vous.
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