Cette page est participative, et tout le monde peut faire parvenir des informations qui y seront ajoutées.
L’équipe d’Academia tient à remercier Deborah Dubald, à l’origine de l’idée, et Claire Maligot, qui a fourni le document princeps.
Attention : l’exhaustivité et l’exactitude de cette page ne peut être assurée, malgré tous nos efforts. Les étudiant.e.s sont en particulier vivement invités à vérifier les conditions, les dates de candidature et les montants auprès des institutions elles-mêmes. L’inclusion ou non des masterant.e.s 1 et 2 dans les aides à la mobilité des UMIFRE semble par exemple pouvoir varier d’une année sur l’autre.
- Bourses nationales
- Bourses locales
- Prix
- Séjours de courte ou moyenne durée en France
- Séjours de courte ou moyenne durée à l’étranger
Annonces ponctuelles
- Dans le cadre du projet ANR/DFG ARCHITRAVE, le Centre de recherche du château de Versailles propose un CDD de 2 mois d’assistant de recherche et documentation, accessible aux master 2 en histoire de l’art/architecture moderne.
Bourses nationales
- Histoire du cinéma : prix Jean-Baptiste Siegel, attribuée par la Cinémathèque française, pour des recherches de niveau master ou doctorat – sans indication du niveau acquis au moment de la candidature. Dossier à déposer avant le 31 mai.
- Histoire de la banque de France : allocations de recherche universitaire, au niveau master, doctorat et post-doctorat.
- Histoire de l’énergie : allocation de recherche du Comité d’histoire de l’électricité et de l’énergie.
- Histoire du rail : allocation de recherche de l’Association pour l’histoire des chemins de fer, accessible en master 1 et 2.
- Histoire de la poste : allocation de recherche du Comité d’histoire de la Poste.Dossier à déposer le 15 octobre.
- Mise en valeur des collections de la Bibliothèque nationale de France : la BNF offre des postes de recherche, accessibles dès le niveau master.
- Histoire de la recherche médicale : le Comité pour l’histoire de l’Inserm propose un dispositif de soutien à la recherche, à destination des masterant.e.s.
- Histoire économique : l’Association française d’histoire économique (AFHE) propose une allocation de recherche en l’honneur de Jean Heffer, accessible à partir du M2, visant à financer une mission de dépouillement en archives.
- Histoire économie et histoire environnementale : le Réseau universitaire de chercheurs en histoire environnementale (RUCHE) et l’Association française d’histoire économique (AFHE) proposent une bourse d’aide au M2 pour des travaux croisant histoire économique et histoire de l’environnement.
Bourses locales
- Histoire du genre : bourse de recherche de la ville de Paris pour les études de genre, sans spécification du niveau d’études retenu, mais pour des étudiants inscrits à Paris. Dossier à déposer avant le 1 octobre.
- Histoire de l’antisémitisme et de la xénophobie : bourse de recherche de la ville de Paris pour les études sur l’antisémitisme et la xénophobie, sans spécification du niveau d’études retenu, mais pour des étudiants inscrits à Paris. Dossier à déposer avant le 1 octobre.
-
Histoire et patrimoine local : la commune de Romans-sur-Isère offre une bourse de recherche à destination des étudiant.e.s en master et doctorat consacrant leurs recherches à son histoire et son patrimoine. Dossier à déposer avant le 1er octobre.
- Le département de la Drôme propose des bourses annuelles de soutien à la recherche pour les étudiants en sciences humaines et sociales, du master 1 au doctorat.
- Le conseil départemental de l’Yonne propose des bourses de soutien à la recherche pour les étudiant.e.s souhaitant travailler sur les archives de ce département.
Prix
- Histoire du XIXe siècle : le prix Ary Scheffer, décerné par le Comité de Liaison des Associations Dix-neuviémistes (CL 19), récompense une thèse de doctorat ou un mémoire de troisième cycle portant sur le XIXe siècle
- Histoire des femmes, histoire du genre : le prix Mnémosyne, de l’Association pour le développement de l’histoire des femmes et du genre, est décerné chaque année en janvier.
- Histoire sociale : le prix Jean Maitron, organisé par le Centre d’Histoire sociale du XXe siècle et l’UNSA éducation, est décerné chaque année à la mi-novembre, pour un mémoire de master 1 ou 2.
- Histoire de la protection sociale au sens large (action sociale et chômage inclus) : le prix du Comité d’histoire de la sécurité sociale. Dossier à déposer pour le 30 avril.
- Histoire des conditions de vie étudiante : le prix de l’Observatoire de la vie étudiante, pour un mémoire de master 1 ou 2. Dossier à déposer pour le 30 janvier.
- Histoire de la famille : les prix de la Caisse nationale des allocations familiales, pour un mémoire de master 2. Dossier à déposer pour le 9 septembre.
- Histoire du XIXe siècle : le prix d’histoire du XIXe siècle, attribué par le Centre d’histoire du XIXe siècle. Dossier à déposer le 15 novembre.
- Autour de l’action politique de François Mitterand : prix de l’Institut François-Mitterrand. Dossier à déposer avant le 15 avril.
- Histoire du socialisme : prix de la Fondation Jean Jaurès, en histoire et en sciences politiques.
- Histoire de l’audiovisuel : prix de l’Inathèque, pour un travail utilisant les collections de l’INA. Dossier à déposer pour le 25 juillet.
- Histoire militaire : prix d’histoire militaire, décerné chaque année par le ministère de la Défense pour un mémoire de master 2, ayant obtenu une mention TB. Dossier à déposer pour le 1er juin.
- Histoire du renseignement : prix de mémoire de master 2, décerné par le centre français de recherche sur le renseignement (C2FR). Dates à vérifier.
- Histoire de la médecine : prix de la Société française d’histoire de la médecine, accordée soit à une thèse de doctorat soit à un mémoire de master 2. Dossier à déposer avant le 31 décembre.
- Histoire des techniques et histoire industrielle : prix d’histoire François Bourdon, « Techniques, entreprises et société industrielle ». Aucune date n’est indiquée.
- Histoire de l’Allemagne et histoire relations franco-allemandes : prix franco-allemand d’histoire de la Société des amis de l’Institut historique allemand. Dossier à déposer pour le 1 avril.
- Histoire des Amériques : prix de mémoire de master de l’Institut des Amériques.
- Histoire économique : le prix Ithaque-Marquet est ouvert aux mémoires touchant un objet d’histoire économique et/ou financière original à partir du XVIIIe siècle. Il consiste en un contrat de publication, de diffusion, et de promotion avec les éditions Ithaka.
- Études des questions de défense : le prix Bastien Irondelle de l’Association pour les études sur la guerre et la stratégie est ouvert aux mémoires de master en sciences sociales, déjà soutenus et portant sur les problématiques de défense, des études de la guerre ou de la stratégie.
- Démographie : le prix de master Valeria Solesin est décerné par l’Institut de démographie de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Les candidats doivent soumettre un “quatre pages” issu de leurs travail de master, celui-ci devant porter sur la démographie et les sciences de la population.
- Patrimoine industriel, scientifique et technique : le prix « Prix Cilac/Jeune chercheur.euse en patrimoine industriel » s’adresse aux étudiants en master 1 ou 2 (en cours ou soutenu), en sciences humaines et sociales, des sciences de l’ingénieur, de l’architecture, de l’urbanisme et des arts plastiques, de la conservation/restauration.
Séjours de courte ou moyenne durée en France
Certaines Archives départementales, et donc certains conseil généraux, offrent des aides pour les déplacements. Pour chaque institution et chaque année, il faut se renseigner auprès du service concerné.
Séjours de courte ou moyenne durée à l’étranger
De manière générale, il faut penser à consulter le site internet de l’ambassade française dans le pays d’accueil : certaines d’entre elles recensent également les offres de stage, de formation et les possibilités de financement dans le cadre d’accords bilatéraux spécifiques. De même, il faut penser à se tourner vers les groupes de recherche existant sur des aires régionales spécifiques, ainsi que sur le réseau des écoles françaises à l’étranger et celui des unités mixtes des instituts français de recherche à l’étranger (UMIFRE).
Si certaines offres sont octroyées avec une régularité annuelle depuis de nombreuses années, il ne faut pas oublier que, dépendant des financements publics ou privés, certains postes peuvent ne pas être mis au concours d’une année sur l’autre.
Général
Avant toute chose, consulter les offres du programme Erasmus+, qui appuie la mobilité étudiante à l’échelle européenne, mais aussi hors UE. En particulier, les possibilités de master conjoint peuvent être intéressantes. Le portail Ploteus centralise en outre un nombre important d’opportunités.
En France, le “complément Erasmus”, en cas de mobilité à l’étranger, est réservé aux étudiants déjà boursiers sur critères sociaux. Il existe en outre des aides spécifiques disponibles pour les étudiants boursiers.
Le ministère des Affaires étrangères propose des aides à la mobilité, des programmes spécifiques et des offres de stage.
L’Institut de France offre lui aussi quelques possibilités, en particulier les bourses Walter Zellidja, de l’Académie française, et les bourses de l’Académie des inscriptions et belles lettres.
Enfin, il existe des aides à la mobilité financées par les régions, les départements, les communautés de commune et les communes, trop nombreuses pour être recensées ici : nous ne pouvons que vous encourager à explorer tous les niveaux du millefeuille. De même, il existe de nombreux programmes d’échange bilatéraux, beaucoup trop nombreux pour être recensés ici.
Allemagne
- Le Deutscher Akademischer Austauschdienst (DAAD) est l’office allemand d’échanges universitaires ; il propose une série de programmes de bourses d’études, en général pour des études de longue durée (10 à 24 mois) à l’échelle du master, les bourses de courte durée étant plutôt à destination des doctorants.
- Le Centre interuniversitaire d’études et de recherches sur l’Allemagne (CIERA) propose des bourses de mobilité vers les pays germanophones (Autriche, Allemagne, Suisse), pour trois mois maximum (non renouvelable). Deux sessions sont organisées, au printemps et à l’automne.
- L’Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ) offre quelques bourses et stages pour les moins de 31 ans, généralement centrées sur des projets artistiques ou professionnels, mais pas uniquement.
- Le Centre Marc Bloch, localisé à Berlin, propose des aides réservées aux doctorants, mais il existe des possibilités de stage au niveau master.
- L’Institut français d’histoire en Allemagne, à Francfort, dispose d’un programme de bourses d’aide à la mobilité, de courte et moyenne durée (deux à six semaines).
- Les masters habilités par l’Université franco-allemande offrent des aides à la mobilité.
- Le Bundestag attribue quelques bourses, pour des stages parlementaires.
États-Unis
- La commission franco-américaine Fulbright, subventionne de manière générale la mobilité vers les États-Unis, et centralise toute une série de programme de bourses de mobilité. Une session annuelle est organisée, close en décembre. Les financements couvrent une année académique (9 à 10 mois), avec un départ à partir du 1er août. Les montants sont compris entre $6 000 et $45 000 en fonction des fondations partenaires, des accords particuliers, et des cumuls possibles. Attention : l’obtention d’une bourse Fulbright ne préjuge pas de l’acceptation du dossier par une université américaine, ce sont deux procédures différentes.
Italie
- De manière générale, le Centro di Informazione sulla Mobilità e le Equivalenze Accademiche (CIMEA) centralise les informations sur les aides à la mobilité possibles.
- L’université Franco-Italienne concentre son action sur les doctorant.e.s (programme Vinci), mais offre aussi quelques financements ainsi que des cours binationaux de niveau master (qui prévoient la délivrance de doubles diplômes).
- L’École française de Rome réserve ses financements de séjours de recherche aux doctorants. Mais depuis quelques années, elle a développé des ateliers de formation et d’initiation à la recherche qui, eux, sont ouverts aux masterant.e.s.
Espagne
- À la Casa de Velázquez, les aides sont généralement réservées au niveau doctorat, mais l’institution recense aussi les aides disponibles pour les mondes hispaniques et les pays hispanophones.
Grèce
- À l’École française d’Athènes, les aides sont réservées au niveau doctorat, mais l’institution offre des possibilité de stages. Par ailleurs, l’EFA recense les aides disponibles pour étudier en Grèce.
Royaume-Uni
- De manière générale, il faut se renseigner sur le site du British Council, comme guide dans les démarches.
- Le site Prospects recense les aides possibles, y compris en master. Attention, il n’est pas forcément complet pour certaines universités, qui proposent des portails dédiés, en particulier Oxford et Cambridge (voir aussi les pages de chaque collège, par acquis de conscience).
- La Maison française d’Oxford propose des bourses de recherche pour séjour court, réservées aux doctorants, mais quelques accords existent au niveau master, en particulier avec les ENS.
- La Knox Scholarship de Trinity College (Cambridge), réservée aux étudiants français, prend en charge l’intégralité des frais d’inscription d’un.e masterant.e à Cambridge, avec une bourse mensuelle
Reste de l’Europe
- Centre français de recherche en sciences sociales de Prague
- Centre d’études franco-russe de Moscou
Monde musulman en général
- Le GIS Moyen-Orient et Mondes musulmans recense et offre plusieurs subventions en partenariat avec d’autres groupes ou fondations, notamment avec la Fondation de l’Islam de France.
- L’Institut d’études de l’islam et des sociétés du monde musulman (IISMM) recense offres, prix, aides à la mobilité.
- La Halqa, association des doctorants en sciences sociales sur les mondes musulmans modernes et contemporains, fait un travail de veille des possibilités de financements, bourses, et prix, existant pour les mondes arabes et musulmans.
- Dîwân, association des doctorants en histoire des mondes musulmans médiévaux, fait de même pour la période médiévale.
Proche-Orient
- L’Institut français du Proche-Orient (IFPO) propose des aides à la mobilité de courte durée accessibles dès le master, ainsi que des stages, à Beyrouth (Liban) ou dans ses antennes d’Amman (Jordanie), Erbil (Irak), ou des Territoires Palestiniens. Ces stages peuvent visiblement dépasser les deux mois, donc donner lieu à gratification.
- Le Centre français d’archéologie et de sciences sociales (CEFASS), installé à Koweït City et Sanaa, offre des possibilités d’aide à la mobilité à partir du master 2, ainsi que des stages, pour la péninsule Arabique.
- L’Institut français d’études anatoliennes réserve ses bourses et aides à la mobilité au niveau doctorat, mais offre des possibilités de stage au niveau master 2.
Égypte
- L’Institut français d’Archéologie orientale (IFAO), implanté au Caire, donne accès aux étudiants de master à certains appels, par exemple aux bourses jointes avec l’Institut dominicain d’études orientales (IDEO), pour un séjour de 12 mois à partir du master 2 (inclu des cours d’arabe classique).
- Le Centre d’études et de documentation économiques, juridiques et sociales (CEDEJS), installé au Caire et à Khartoum, offre des possibilités de financement à partir du master 2, ainsi que des opportunités de stage, pour l’Égypte et le Soudan contemporains.
Israël
- Le Centre de recherche français à Jérusalem (CRFJ) réserve ses bourses de recherche aux doctorants et aux post-doctorants, mais des possibilités de stage existent pour les étudiants de master (deux mois maximum, donc sans gratification).
- L’École biblique et archéologique française (EBAF), implantée à Jérusalem, peut offrir un complément à une série de bourses offertes par d’autres institutions, ainsi que quelques bourses propres.
Maghreb
- L’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain (IRMC), implanté à Tunis, semble offrir des aides à la mobilité dès le master 2 (mais le site n’est plus mis à jour depuis 2016).
- Le Centre Jacques Berque (CJB), à Rabat, offre une bourse de courte durée et une bourse de longue durée chaque année ; la seconde est réservée aux doctorant.e.s, mais la première peut être obtenue dès le master.
Afrique
- L’Institut des mondes africains (IMAF) et le GIS Études africaines en France dont il est porteur recense régulièrement des appels à projets, dispositifs d’aide, etc.
- L’Institut Français de Recherche en Afrique (IFRA) est basé à Nairobi (Kenya) et à Ibadan (Nigeria). Il peut proposer quelques bourses pour des étudiants de master, souvent insérés dans des programmes plus larges. Le centre de Nairobi propose des stages et des bourses de mobilité.
- La Section française de la Direction des antiquités du Soudan (SFDAS) réserve son aide à la mobilité aux doctorants. Il est peut-être possible d’y faire un stage.
- Le Centre français des études éthiopiennes (CFEE), à Addis-Abeba, offre une possibilité de stage, de trois à neuf mois (avec gratification).
- L’Institut français d’Afrique du Sud (IFAS), à Johannesburg, offre des possibilités de stages d’assez longue durée (six mois, avec gratification).
Asie
- L’École française d’extrême-orient (EFEO), propose des allocations de terrain accessibles dès le master 2, pour une durée de un à six mois. Ces allocations impliquent de s’appuyer sur les centres de l’EFEO, présente à Bangkok, Chiang Mai, Hanoï, Hô-Chi-Minh-Ville, Hongkong, Jakarta, Kuala Lumpur, Kyoto, Pékin, Phnom Penh, Pondichéry, Pune, Séoul, Siem Reap, Taipei, Tokyo, Vientiane et Yangon.
- L’association Jeunes études indiennes (AEJI) fait un travail de veille des possibilités de financements, bourses, et prix, existant pour le monde indien au sens large. Elle propose une bourse propre, en partenariat.
- L’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine (IRASEC), implanté à Bangkok, réserve ses bourses au niveau doctorat, mais offre des possibilités de stage.
- L’Institut français d’études sur l’Asie centrale (IFEAC) est installé à Bichkek (Kirghizstan) et dispose d’une antenne à Douchanbé (Tadjikistan). Ses bourses d’aide à la mobilité sont réservées aux doctorant.e.s. Peut-être existe-t-il des possibilités de stage ?
- La Délégation archéologique française en Afghanistan (DAFA), n’a pas, à l’heure actuelle, de site internet en état de fonctionnement.
- L’Institut français de recherche en Iran (IFRI), à Téhéran, réserve ses aides à la mobilité aux doctorant.e.s.
- Le Centre de sciences humaines (CSH), implanté à New Delhi (Inde), et l’Institut français de Pondichery (IFP), réservent leurs bourses aux doctorant.e.s., mais propose des opportunités de stage.
- La Maison franco-japonaise (MFJ), à Tokyo, semble s’être détourné de ces enjeux.
- Le Centre d’études français sur la Chine contemporaine (CEFCC), installé à Hong Kong, Taipei et Pékin, propose surtout des bourses doctorales, mais peut parfois accueillir des stagiaires dans ses centres de Hong Kong et Taipei, pour une durée ne pouvant excéder 2 mois (donc sans gratification).
Amérique latine
- Le Centre d’études mexicaines et centraméricaines (CEMCA), situé à Mexico, avec une antenne à Ciudad de Guatemala, réserve ses aides à la mobilité aux doctorant.e.s. Il est peut-être possible d’y réaliser un stage.
- L’Institut français des études andines (IFEA), actif en Bolivie, Colombie, Équateur et Pérou, propose des aides à la mobilité accessibles aux étudiant.e.s en master 2.